de Rachel Ward
Traduction de Isabelle Saint-Martin
Parution: 7 mars 2013
Editeur: Michel Lafon Poche
ISBN: 979-1022400060 Nb. de pages: 330 pages
Résumé
Jem a la capacité de percevoir la date de décès de ses proches. Elle le
vit comme une malédiction et a du mal à s'intégrer. Elle rencontre
Spider, jeune homme à problème. Alors qu'ils se baladent au coeur de
Londres, elle remarque que tout le monde affiche la même date. Les deux
comparses échappent de justesse à un attentat. Leur fuite est évidemment
suspecte et la police se lance à leur recherche.
En un mot? Agaçant
Mon avis
J'ai lu le livre il y a un moment, mais je n'arrivais pas à écrire dessus. Trop de points négatifs, je me suis demandée si je n'étais tout simplement pas passée à coté de l'histoire!
Non.
A bien y réfléchir la meilleure partie du roman est : le résumé. Si le pitch vous a donné envie de lire le livre, vous serez dans le même cas que moi, soit très déçue par la suite. Il faut bien l'avouer, ce qui intrigue ici c'est Jem qui voit des chiffres au dessus de la tête des gens.
Or l'auteur n'aborde que sommairement l'histoire des chiffres (Jem refusant de s'en servir) et accumule les clichés et autres stéréotypes qui font basculer le livre dans une lecture sans grand intérêt puisque très peu réaliste (si tant est que voir des chiffres au dessus des têtes paraît réaliste). Clichés, je disais, alors je vais vous parler de Spider (copain de Jem) : noir, psychotique sur les bords, légèrement retardé et parlant le racaillou ... ou bien encore la relation de nos jeunes héros devant la police : qui ne les croiront pas de toute façon ----> autant prendre la fuite Oo.
Le niveau se relève "légèrement" sur la fin (comme quoi quand on ne fait pas n’importe quoi avec ses personnages il peut arriver de bonnes choses), mais pas non plus au point de vous donner envie de lire les tomes suivants. Dommage.
A
lire? Non. Pas vraiment.
Histoire: 3.5/10
Imagination, invention: 5/10
Personnages: 5.5/10
Ambiance générale du livre: 5/10
Lecture: 7.5/10
Présentation générale du livre (couverture, illustration...): 8/10
Date de sortie cinéma :21 août 2013
Réalisé par James Wan
Acteurs:
- Lili Taylor est Carolyn Perron
- Vera Farmiga est Lorraine Warren
- Patrick Wilson est Ed Warren
- Mackenzie Foy est Cindy Perron
… -
Distributeur : Warner Bros
Genre : horreur Durée : 1h52 min
Synopsis
Avant Amityville, il y avait Harrisville… The Conjuring raconte l'histoire horrible, mais vraie, d'Ed et Lorraine Warren, enquêteurs paranormaux réputés dans le monde entier, venus en aide à une famille terrorisée par une présence inquiétante dans leur ferme isolée… Contraints d'affronter une créature démoniaque d'une force redoutable, les Warren se retrouvent face à l'affaire la plus terrifiante de leur carrière.
Les claps du dessus, ne sont pas du tout des applaudissements, mais bien, une grosse référence au film ;).
James Wan, auteur de la franchise Saw (le premier) et plus récemment de Insidious (sachez que le deuxième volet est prévu pour octobre) remet les pendules à l'heure de l'épouvante. Toujours fidèle à la ligne qu'il semble s’être tracé, son dernier bébé, "The Conjuring" ne fait pas exception à la règle: musique prononcée et peur primale sont bien au rendez-vous.
Sur fond d'"histoires vraies" du moins de personnages ayant réellement existés, "The Conjuring" nous raconte l'histoire de la gentille famille Perron, qui voit son bonheur "légèrement" terni par des événements inexpliqués tous plus terrifiants les uns que les autres.
Là où certains films se perdent à grand coup de religions ou d'humour mal placé, "The Conjuring" va droit au but. James Wan reprend tous les classiques et ficelles du genre (pas de spoiles, sorry) et arrive quand même à vous surprendre! C'est précisément le moment où vous relâchez que le réalisateur vous assène à grand coup de mandales dans la tronche le jump scare qui vous fera fermer les yeux, alors que vous pensiez benoitement que le pire était passé ... erreur. Je pèse mes mots. Il aura réussi à me faire peur, moi qui suis fan de film d'horreur/d'épouvante/qui fait flipper.
On retiendra cependant deux scènes (pas plus, à cause des spoilers) qui à elles seules résument l'univers particulier du film. La première revient à Lili Taylor (Carolyn Perron) qui se retrouve prise au piège dans l'escalier menant à sa cave, dans le noir, avec pour seul compagnie "visible": des allumettes et la deuxième scène où Vera Farmiga (Lorraine Warren), Patrick Wilson (Ed Warren) et John Brotherton (Brad Hamilton) se retrouvent dans la cave pour écouter s'ils ne sont pas seuls, les bruits venant quasi exclusivement du micro enregistrant les sons.
Coté acting, je suis fan depuis très longtemps de Lili Taylor, j'avais quelque doute sur Patrick Wilson .... que j'ai oublié depuis. En bref, tous les acteurs de ce film sont justes et leur prestation est parfaite. On pourra critiquer autant qu'on veut: crier correctement n'est pas à la portée de tout le monde.
Les trucs + : Tout n'est pas montré dans la bande annonce, vous aurez donc quelques surprises ^^, les décors et costumes 70's, qui rappelle Amityville (pour ne citer que celui là) et la musique qui vous fout les jetons dès les trois premières minutes du film ... ambiance. -
A voir ? Oui. Parce qu'il réussit à vous faire peur, là où les autres ne font que vous faire sursauter.
Alors que la sortie du thriller horrifique de James Wan approche, vous vous interrogez peut-être sur la part de réel que comporte le film. Adaptée d’une histoire vraie, l’intrigue retrace l’une des affaires les plus terrifiantes du couple d’enquêteurs paranormaux Ed et Lorraine Warren. Interprétée par Vera Farmiga, le personnage de Lorraine fascine. Très impliquée dans le projet, elle lève le voile sur certains des mystères qui l’entourent.
Aujourd’hui âgée de 86 ans, Lorraine Warren a dédiée sa vie au paranormal. Douée d’aptitudes psychiques exceptionnelles, elle utilise son don de médium pour détecter tout signe d’activité paranormale. Jusqu’au décès de son mari en 2006, Lorraine a travaillé en étroite collaboration avec lui afin de venir en aide aux âmes tourmentées. Pour être plus facilement accessibles aux victimes, ils officialisent leurs activités dès 1952 en créant la NESPR – New England Society for Psychic Research – et médiatisent, dès lors, les cas marquants qui se présentent à eux.
Précurseurs dans le domaine de l’investigation paranormale, les Warren ont longtemps été perçus comme des marginaux. Pour autant, la documentation systématique de leurs affaires via la collecte de preuves leur a permis d’acquérir une renommée auprès d’un large public, y compris parmi les certains sceptiques. Ces preuves sont aujourd’hui exposées dans l’espace muséal de leur propre maison. Si l’affaire d’Amityville a fait grand bruit, les Warren sont aussi venus à bout d’affaires moins connues, impliquant un loup-garou, des meurtres démoniaques ou encore des fantômes.
Au-delà de l’empathie sincère qui émane d’elle, Lorraine se caractérise surtout par sa détermination à toutes épreuves. Pour l’anecdote, Lorraine Warren fait un rapide caméo dans une scène du film. Saurez-vous la reconnaître ?
Lorsque j'étais étudiante j'ai passé plusieurs mois à Édimbourg et l'aura de cet endroit est tel que je ne pouvais que tomber sous le charme. Depuis je porte une affection particulière pour l’Écosse et je dois avouer que je ne me lasse pas de ses paysages : j'aime voir les films qui se déroulent là bas (Braveheart et Highlander en tête ^^) et lire les descriptions faites dans les livres pour en profiter encore un peu... Si on ajoute la mythologie celte et l'histoire du pays, on trouve une source d'inspiration pour de nombreux auteurs, c'est ainsi que je me suis retrouvée à lire une nouvelle saga historique :)
Avec le retour des Highlanders, on se retrouve au début du 16ème siècle, une période d'instabilité politique : le Roi d’Écosse est décédé, les intrigues de cours se jouent autour de la régence et la rébellion contre la couronne couve, sans oublier les guerres de clans... autant dire que c'était pas évident d'être écossais à cette époque là !
On y suit donc les aventures du clan MacDonald et plus particulièrement de Connor (fils du chef), de Ian et d'Alex (ses cousins) et de Duncan (leur meilleur ami) qui reviennent au pays après être parti pendant 5 ans parfaire leur éducation militaire. A leur retour, la bataille de Flodden a eu lieu, de nombreux écossais (dont le père de Connor) ont péri et le clan est tombé dans de mauvaises mains... Nos quatre héros vont alors tenter de reprendre les rênes du clan et d'en assurer la pérennité.
Alors, autant le dire tout de suite, j'aime beaucoup la façon dont la saga est construite : habituellement, on retrouve toujours la même mécanique d'un livre à un autre, ici, chaque livre est vraiment différent du tome précédent en reflétant la personnalité du personnage principal.
Le premier tome tourne autour de Ian qui a été obligé d'épouser une jeune fille dont il ne voulait pas suite à une méprise. Il est parti plein d'amertume et n'avait aucune envie de revenir auprès de sa femme, sauf que cinq ans après le vilain petit canard s'est transformé en cygne...
Dans le second tome, on suit Alex, le séducteur de ces dames, qui se refuse au mariage, entre autre pour pouvoir continuer à papillonner... il est le personnage qui apporte irréfutablement le plus d'humour dans cette saga et le ton y est plus léger... du moins pendant un temps !
Dans le troisième tome, c'est au tour de Duncan, le renfrogné de la bande : il a perdu la seule femme qu'il a jamais aimé et ses origines obscures fait que, malgré ses faits de guerre élogieux, il a encore du mal à s'estimer digne de la confiance qu'on lui accorde...
Et pour le quatrième tome, ce sera au tour de Connor (j'espère qu'il ne ne tardera pas à suivre...)
Alors bien sûr, c'est de la romance historique, mais plutôt que d'être dans un schéma classique de coup de foudre au premier regard, on se retrouve avec des couples qui ont un gros problème de confiance, ce que je trouve assez novateur et qui rajoute aussi de l'intérêt à l'histoire.
Et puis, la toile de fond politique fait la part belle à l'action : il y a des combats, des embuscades, du sang et des cadavres... et ça aussi c'est sympa ^^
PS : en cherchant des paysages de l'Ile de Skye où se situe l'histoire, je suis tombée sur le site d'un photographe professionnel... les photos sont magnifiques mais ne sont pas libres de droit, aussi je vous invite à allez les voir ici :)
Les premières images du film "Veronica Mars" viennent d'être dévoilées au Comi-con de San Diego. Cette petite vidéo de 5 mins nous dévoile les coulisses du tournage, des interviews, quelques explications sur le financement du film ... etc. En bref, c'est encore un cadeau offert par la production aux fans!
Le bonus c'est qu'à la toute fin du tournage = il y a le premier trailer! Enjoy les fans ;)
Date de sortie cinéma : 31 octobre 2012
Réalisé par Rian Johnson
Acteurs:
- Bruce Willis, Joe plus âgé
- Joseph Gordon-Levitt, Joe
- Emily Blunt, Sara
... -
Distributeur :SND Genre : Science fiction Durée :1h 50 min
Synopsis
Dans un futur proche, la Mafia a mis au point un système infaillible
pour faire disparaître tous les témoins gênants. Elle expédie ses
victimes dans le passé, à notre époque, où des tueurs d’un genre nouveau
(les "Loopers") les éliminent. Un jour, l’un d’entre eux, Joe, découvre
que la victime qu’il doit exécuter n’est autre que… lui-même, avec 20
ans de plus. La machine si bien huilée déraille…
En un mot? Complexe Mon avis
Rian Johnson (qui a aussi écrit le scénario) réussit à repousser les limites du genre avec un film de Science-fiction intelligent, ambitieux et réalisé avec brillo. Un bijou de précision qui peut se lire de plusieurs manières, un peu comme Inception mais en beaucoup, beaucoup plus complexe. Il faut suivre le film et être attentif à tout, sous peine d’être largué en beauté ^^. Le suspense est à couper au couteau et les effets spéciaux sont extrêmement discrets, même s'ils sont pourtant bien visibles, Joseph Gordon-Levitt (Joe jeune) ressemblant à Bruce Willis (Joe plus âgé), une vrai prouesse technique. Les effets spéciaux accompagnent le film et pas l'inverse.
de Katarina Mazetti
Traduction de Lena Grumbach et Catherine Marcus
Parution: 9 juin 2006
Editeur: Actes sud
ISBN: 978-2742771905 Nb. de pages: 253 pages
Résumé
Désirée se rend régulièrement sur la tombe de son mari, qui a eu le mauvais goût de mourir trop jeune. Bibliothécaire et citadine, elle vit dans un appartement tout blanc, très tendance, rempli de livres. Au cimetière, elle croise souvent le mec de la tombe d'à côté, dont l'apparence l'agace autant que le tape-à-l'œil de la stèle qu'il fleurit assidûment. Depuis le décès de sa mère, Benny vit seul à la ferme familiale avec ses vingt-quatre vaches laitières. Il s'en sort comme il peut, avec son bon sens paysan et une sacrée dose d'autodérision. Chaque fois qu'il la rencontre, il est exaspéré par sa voisine de cimetière, son bonnet de feutre et son petit carnet de poésie. Un jour pourtant, un sourire éclate simultanément sur leurs lèvres et ils en restent tous deux éblouis... C'est le début d'une passion dévorante. C'est avec un romantisme ébouriffant et un humour décapant que ce roman d'amour tendre et débridé pose la très sérieuse question du choc des cultures.
En un mot? Normal
Mon avis
C'est un roman léger, parfois drôle et qui ne demande pas une tonne de concentration. Certes l'auteur nous raconte une histoire d'amour, mais c'est dans le détail que se trouve l'originalité, elle nous raconte une histoire que pourrait vivre notre voisin(e) ou nous. L'identification est du coup très facile.
Désirée est bibliothécaire, elle vient d'enterrer son mari. Benny est agriculteur, il vient voir ses parents au cimetière. Ils sont différents, vraiment, elle aime les choses ordonnées, Benny s'en fiche. Mais Benny est surtout "Le mec de la tombe d'à côté". Après des regards (des deux personnages) qui détaillent et catégorisent, ils vont se sourire et leur histoire va commencer.
Il y a un chapitre par protagoniste, de quoi comprendre le point de vue de l'un et l'autre sur ce qu'ils vivent.
Ce qui m'a le plus touchée c'est Désirée qui dit avoir " des papillons dans le ventre" lorsqu'elle est avec Benny (hummmmm soupirs).
Mais comme L'auteur nous raconte une histoire d'amour banale, on se doute bien que leurs différences ne vont pas les aider. De disputes en réconciliations, l'auteur nous explique que rien n'est facile dans la vie de couple, mais que quand on veut ...
A
lire? Oui. Je n'aime pas la fin, trop incertaine à mon goût et j'allais mettre une note plus basse que prévue, et puis je viens de m'apercevoir ... qu'il y a une suite ^^ :
"Le caveau de famille", alors je laisse le bénéfice du doute à l'auteur et vais acheter la suite!
Histoire: 7.5/10
Imagination, invention: 6/10
Personnages: 7/10
Ambiance générale du livre: 7.5/10
Lecture: 8/10
Présentation générale du livre (couverture, illustration...): 6/10
Pour tenter de remporter un Press kit et des stickers du film "Dans la tête de Charles Swan III", il vous
suffisait de répondre correctement ) la question suivante :
Chaque personnage est représenté par un aliment ou un objet, pourriez-vous me donner celui de Bill Murray?
et voici le nom des gagnants:
Paola remporte le Press kit-
Daniel J. remporte 4 stickers
Sandy S. remporte 4 stickers
Bravo à tous et à TRÈS bientôt pour de nouveaux concours (genre la semaine prochaine .... ^^)
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Le dernier concours de la saison (après on prend des vacances ^^)! A l'occasion de la sortie au cinéma de "Dans la tête de Charles Swan III" le 24 juillet 2013, tentez votre chance et gagnez p-e un press kit ou des autocollants du film!
Le concours est ouvert du 06.07.2013 au 12.07.2013.
En jeux:
- 1 press kit
- 8 autocollants
Le vinyle 7' collector
Le vinyle est un objet que nous aimons particulièrement et qui, ici, est directement tiré de l'univers du film ! Cette édition est réalisée en "gatefold" 2 volets avec d'un côté le dossier de presse du film pour en décourvrir plus sur sa création, de l'autre le vinyle blanc comportant 3 titres tirés de la bande originale composée par Liam Hayes.
Les stickers
Des graphismes vraiment originaux qui correspondent à l'univers du film.
Les dotations seront livrées par la poste, nous ne serons pas responsable des éventuelles pertes.
- Une seule participation par foyer (même nom, même adresse ...).
- Tout mail/formulaire incomplet ne sera pas pris en compte
- Le concours est ouvert du 06.07.2013 au 12.07.2013.
- Les gagnants seront tirés au sort le 12.07.2013 à 21h00 et annoncés directement sur le blog.
- La case "pseudo" du formulaire est
importante pour vous. Elle vous permet de nous indiquer sous quel
nom/forme vous voulez apparaitre sur le blog ... à défaut votre prénom
et la première lettre de votre nom serons utilisé si vous êtes le
gagnant. Exemple: Joan M.
- L'identification des gagnants (non, prénom, etc.) seront publiés en ligne avec le résultat des concours.
Date de sortie cinéma :17 juillet 2013
Réalisé par Guillermo del Toro
Acteurs:
- Charlie Hunnam, Raleigh Antrobus
- Idris Elba, Stacker Pentecost
- Ron Perlman, Hannibal Chow
…
Distributeur : Warner Bros Genre : Action, SF Durée : 2h11 min
Synopsis
Surgies des flots, des hordes de créatures monstrueuses, les "Kaiju", ont déclenché une guerre qui a fait des millions de victimes et épuisé les ressources naturelles de l'humanité pendant des années. Pour les combattre, une arme d'un genre nouveau a été mise au point : de gigantesques robots, les "Jaegers", contrôlés simultanément par deux pilotes qui communiquent par télépathie. Mais même les Jaegers semblent impuissants face aux redoutables Kaiju. Alors que la défaite paraît inéluctable, les forces armées qui protègent l'humanité n'ont d'autre choix que d'avoir recours à deux héros hors normes : un ancien pilote au bout du rouleau (Charlie Hunnam) et une jeune femme en cours d'entraînement (Rinko Kikuchi) qui font équipe pour manœuvrer un Jaeger légendaire, quoique d'apparence obsolète. Ensemble, ils incarnent désormais le dernier rempart de l'humanité contre une apocalypse de plus en plus imminente…
Je vous laisse en compagnie de la bande annonce (qui envoie du lourd) de "Pacific Rim", un mélange de Transformers et de Godzilla ... J'ai hâte ^^
En un mot? Fantastique!
Mon avis
Dès hier soir à la sortie de projection du film, je me suis dit que j'allais avoir un mal fou à vous donner mon avis (clairement et un peu plus développé, évidemment). Je ne me suis pas trompée. Seriez-vous satisfaits si je vous dis seulement qu'il faut le voir? Absolument? Non, bon ...
Il va falloir être conciliant avec moi, Pacific Rim m'a chamboulée. Je vous raconte ma vie, mais j'adore les films catastrophes, plus il y a de dégâts matériels plus je suis contente. Après les 10 premières minutes du film où j'ai eu des frissons et le sourire, j'ai compris que j'allais adorer.
Imaginez le tableau : "Pacific Rim" c'est un mélange de "Transformers", de "Godzilla" et de "2012", j'ai encore des robots plein les yeux et on est le lendemain!
C'parti mon Jaeger!
Petit film sans prétention ... Pacific Rim a quand même bénéficié d'un budget de 200 millions de dollars. Juste de quoi se faire plaisir sans compter.
"Kaiju eiga" ou cinéma de
monstres, est un cinéma efficace et surtout très destructeur, c'est japonais. pour le film ça devient sympathique quand on sait que
l'actrice principale féminine est japonaise, la
majeure partie du film se déroule à Hong-Kong et qu'on utilise le mot
japonais pour parler des monstres. C'est donc un bel hommage, et beau retour des
choses de la part de Guillermo del Toro qui adore ce genre là.
Un
film d'action ce n'est pas du bla-bla pendant 45 mins (comme : Star
Trek: Into the Darkness), il faut que ça bouge un minimum, dans ce cas
présent on est content des pauses. Il faut que j’explique, il y a de
GROSSES scènes de combats et elles ne durent pas 2 minutes. Avoir des
pauses entre chaque est donc particulièrement salvateur pour votre petit cœur et aussi/surtout pour vos yeux, parce qu'ils en prennent pleins
(la tête Oo) pendant 2h10.
Je
vous conseille d'aller le voir en 3D, parce que pour une fois elle est
vraiment utile et utilisée comme il se doit: donner de la profondeur et
vous envoyer des voitures, de la poussière ou de la boue dans les
yeux.
Visuellement très (très)
abouti, ce film ridiculise les dernier blockbusters sortis (caméra
parkinsonienne, action illisible, pour ne citer que ça) et remet les compteurs à zéro pour les prochains. Attention la barre est haute, mais si on rajoute un peu de scénario et un zest d'émotion et ce sera un chef d'oeuvre.
Coté casting Charlie Hunnam a l'air un peu congestionné par moment, pas de l'acting de folie, mais rien de bien méchant. Idris Elba et Ron Perlman, se font plaisir et ça se ressent. LA femme (moi j'en ai vu qu'une mais je regardais surtout les JAEGERS VROUMM VROUMMMM, enfin vous comprenez) Rinko Kikuchi n'a rien de spécial mais elle est mignonne. (En fait y en a une autre, dans l'équipe Russe: là, tellement féminine que je l'ai oubliée ^^)
Le
réalisateur a tout de même réussit à mettre sa patte un peu partout
dans le film. On aurait pu croire que "Le labyrinthe de pan" et "Pacific
Rim" n'auraient pas de liens autrement que par Guillermo del Toro et
pourtant : les monstres, la petite fille, les bestioles et des trucs
dans des bocaux ... petites marques de fabrique discrètes mais bien visibles.
L'écolo en moins n'a pas pu s’empêcher de penser au massacre écologique produit par les Kaijus et les Jaegers sur terre comme sous la mer et on me l'a souligné après: "les mutations engendrées avec toutes ces radiations ! "#PacificRim 2, les Kaijus d'origine 100 % terrestres"".
Pour résumer Pacific Rim c'est :
Un film fait avec le coeur et généreux :
- de belles images,
- une 3D utile et indispensable pour une fois,
- une B.O efficace mais pas trop prenante,
- distributeur d’adrénaline.
Mais avec les travers d'un blockbuster :
- un scénario un peu faiblard (on connaît tous le déroulement de ce genre de film),
- des phrases types (: "- On vérifie qu'il n'a plus de pouls? (après explosion complète de la bête) - Il n'a plus de pouls"....),
- des incohérences (12 hélicoptères pour venir chercher 2 personnes),
- des gens qui applaudissent (...),
- La B.O, inspirée de la nouvelle norme: "Inception" --> inception.davepedu.com vous connaissez je l'ai déjà mise sur le blog ;).
Petit truc en plus :Guillermo del Toro a fermé l'histoire. Ne vous attendez pas à une suite (p-e un prequel ;) ), comme un gros bras d'honneur aux studios d'Hollywood qui profitent de ce système allégrement depuis quelques années! Presque dommage.
A voir ? OUI! Il sort le 17 juillet au cinéma ... Le 17, comme dix et sept, avec un 1 et un 7. Oubliez les autres blockbusters que vous avez déjà vus, celui-là est à puissance 12. En plus pour une fois, ce ne sont pas les États-Unis qui sauvent le monde!
Scénario: 7.5/10
Musique: 9/10
Acteurs: 9/10
Ambiance générale du film: 12/10 (j'ai le droit, c'est moi qui dicte les règles ici ^^)
Décors/esthétique: 10/10
Ce qui donne: 9.5/10
A ceux qui ne sont jamais contents d'un film : Prenez un livre.
J'ai la chance de compter parmi mes amis certains DVDvores acheteurs compulsifs de films en tout genre. C'est ainsi que j'ai la possibilité de découvrir des films improbables ou des petites perles et Iron Sky peut se situer aisément dans l'une ou l'autre de ces catégories ;-)
Voici le résumé : depuis 70 ans, ils nous observent. Dans l’ombre de la face cachée de la lune, ils se préparent à l’attaque finale. En 2018, le mal absolu renaît... La guerre contre l’envahisseur sera totale.
Honnêtement, après avoir vu la jaquette du dvd et lu le synopsis, je m'attendais à un énième film d'action intergalactique avec des envahisseurs extraterrestres... je ne pouvais pas plus me tromper ! D'ailleurs, la présentation indiquait que le film était à mi-chemin entre Indépendance Day et Inglorious Bastard, ce qui m'a fait un peu tiqué mais après les 2 premières minutes j'ai vite compris...
Les héros malgré eux sont donc des nazis qui se sont exilés en 1945 sur la face cachée de la lune en attendant le moment de leur retour sur Terre et l'avènement du 4ème Reich. Ils y vivent en autarcie baignant dans la culture aryenne, mangeant de la choucroute et écoutant des chants patriotiques allemands des années 50... Leur rencontre avec les temps modernes se fera via un astronaute américain envoyer en mission sur la lune. Imaginer le choc quand ils lui retirent son casque pour découvrir qu'il est noir ! Le pauvre subit alors un reconditionnement à base de soins blanchissants et de musique allemande à fond dans les oreilles !!!
Vous aurez compris, il s'agit ici d'une comédie d'action qui se situe dans la digne lignée de Mars Attack et autre Black Sheep (un film d'horreur d'humour néozélandais ^^).
Le scénario est plutôt bien tourné avec des moments assez drôles, notamment quand les gardes nazis découvrent Playboy et l'épilation brésilienne ! Sans oublier les personnages dont la ressemblance avec des hommes et femmes politiques n'est pas fortuite, dont une sympathique copie de Sarah Palin en tant que Présidente des Etats Unis... d'ailleurs le film se moque aisément de la politique américaine sans oublier quelques dictateurs qui en prennent aussi pour leur grade :)
Mais derrière l'humour se cache un pamphlet pacifiste qui se révèle plus clairement dans les dernières minutes du film. La fin est d'ailleurs très soignée sur le plan esthétique.
Et d'une façon générale, j'ai trouvé la réalisation digne des blockbuster américains (sachant que le budget était de 7 millions d'euros... et oui c'est un film européen ^^) avec des effets visuels qui m'ont particulièrement fait penser à Captain America.
Je finirai avec un petit mot sur la BO (soundtrack) dont je suis tombée littéralement amoureuse, en particulier de la musique du thème (qui a un petit côté "The Grid" de Tron) : B-Machina...
Et voilà, je me suis lancée dans une nouvelle saga fantastique, mais cette fois ci pas de vampires mais des métamorphes (des êtres capables de se transformer...). Alors je ne sais pas si c'est le fait de découvrir un nouvel univers, mais j'ai trouvé cette saga très rafraichissante !
Quant à l'histoire, elle se déroule dans un monde où cohabitent 3 espèces : les Psis, les Changelings et les humains... et on va y suivre l'évolution du rapport de force de ce triumvirat.
Laissez moi vous les présenter plus en détail...
Tout d'abord les Psis : chaque Psi possède des capacités mentales plus ou moins développées (telles que la télékinésie, la télépathie, la clairvoyance...) avec une prédisposition naturelle forte à la violence et à la folie. De ce fait, un protocole appelé Silence a été mis en place une centaine d'année auparavant afin d'annihiler les émotions, à l'origine de ces tendances psychotiques, ce qui a eu pour conséquence de créer une race d'êtres froids guidés par la logique. Sauf que, comme tout protocole, il ne peut pas être efficace à 100%... en effet, en quoi un protocole visant à mettre sous silence les émotions peut-il être efficace sur des sociopathes qui par définition n'en n'ont pas ? De la même façon, comment des êtres sensibles peuvent-ils réellement oublier toute émotion ? Et si l'un d'entre eux a la faiblesse de montrer qu'il pourrait éventuellement ressentir des choses (et s'affranchir du conditionnement) il est condamné à la rééducation, autrement dit à être transformer en légume ! J'ai trouvé ce postulat de départ très intéressant car il rajoute une touche de dystopie à laquelle je ne m'attendais pas et qui apporte une certaine angoisse dans l'histoire, ce qui est assez inhabituel dans ce genre de lecture...
Viennent ensuite les Changelings, les métamorphes qui ont donc la possibilité de se changer en animaux. Mais ici, on ne se cantonne pas à une espèce : tous les animaux sont représentés (félins, volatiles, cervidés...) et fonctionnent selon le système de meutes avec un animal dominant qui régit son clan, offre sa protection aux plus faibles et protège son territoire. J'ai trouvé assez amusant le fait que l'animal à l'intérieur ressorte dans la part humaine : les rats ont un air sournois, les serpents ont un côté reptilien et les félins sont très gracieux... et câlins ! En effet, on suit principalement l'histoire de Dark River, une meute de léopards qui par opposition aux Psis (froids et distants) sont très chaleureux entre eux... D'ailleurs je leur ai trouvé un petit côté pervers, à se toucher constamment, à s'offrir du réconfort au moindre truc... à croire que le privilège du contact rapproché (un truc de félins...) est le billet d'entrée dans un club échangiste !
Et enfin, les humains qui se considèrent eux même quand les abeilles
ouvrières de ce monde : ils n'ont pas les dons psychiques des Psis et
n'ont pas non plus les capacités physiques des Changelings. Ils sont
d'ailleurs assez effacés dans les premiers tomes et prennent de
l'ampleur au fur et à mesure du déroulement de l'intrigue.
Pour revenir sur l'histoire, pendant des années les Psis se sont crus les maîtres du monde, la mise en place de Silence leur ayant permis de prospérer dans les affaires et de régenter le monde selon leur bon vouloir pendant que les Changelings se débattaient dans les guerres de territoires. Ils se sont peu à peu enfermés dans leur tour d'ivoire, ne voyant pas les Changelings se stabiliser pour prendre de l'ampleur dans l'évolution de la société et devenir des acteurs non négligeables de la vie économique. C'est donc dans ce contexte que commence le premier tome, Sascha (une Psi) étant amenée à travailler avec les Dark River sur un projet immobilier... et là c'est le drame... ou pas :)
On retrouve alors la mécanique de ce genre de roman, avec deux personnages que tout oppose qui vont irrémédiablement se sentir attirés : l'un devra oublier ses récriminations et autres à-priori tandis que l'autre devra passer outre le conditionnement et réapprendre à vivre avec les émotions, tous deux devant finalement colmater les différents fêlures émotionnelles de leur passé (oh c'est beau ce que je viens d'écrire !).
Et le sexe vous me direz : et bien ça se mérite ! Il faut attendre les deux tiers du livre à chaque fois (ou presque) pour avoir LA scène où les deux personnages décident d'abaisser leurs barrières et de s'abandonner l'un l'autre (hi haaaa !). Ce qui n'est pas plus mal, parce que l'histoire a le temps de se dérouler et ça évite l'overdose de scènes explicites qu'on peut avoir dans d'autres séries.
D'ailleurs, le fait que le couple principal change à chaque fois (on passe de Psi(e)-Changeling à Changeling(e)-Psi, puis à Humaine-Changeling pour revenir à Psi(e)-Changeling puis Changeling-Changeling...euh, vous êtes toujours là ?) permet aussi de renouveler pour partie l'intérêt de l'histoire.
Pour partie parce qu'il ne faut pas oublier les autres ingrédients essentiels : une bonne dose d'humour, de l'action via un petit côté thriller (tous des psychopathes j'vous dis !) et des bons sentiments ;-)
Date de sortie cinéma : 26 juin 2013
Réalisé par Scott Charles Stewart
Acteurs :
- Keri Russell : Lacey Barrett
- Josh Hamilton : Daniel Barrett
- Dakota Goyo : Jesse Barrett
...
Distributeur :Wild Bunch Distribution Genre :Science fiction
Durée :1h 36min -
Synopsis
Dans une banlieue paisible, la famille Barrett voit soudainement sa vie
basculer suite à des évènements étranges qui, chaque nuit, viennent
troubler la tranquillité de sa maison. Lorsque leur fils cadet évoque un
mystérieux « Ogre des sables » lui rendant visite le soir, le quotidien
de Daniel et Lacy Barrett tourne alors au cauchemar : ils deviennent
victimes d’inquiétants trous de mémoires, et de soudaines pertes de
contrôle de leur corps. Ne trouvant aucun soutien autour d’eux, ils se
retrouvent impuissants pour affronter ce qui va se révéler être une
force extra-terrestre cherchant à s'emparer de leurs enfants...
En un mot? bof
Mon avis
"Deux possibilités existent : soit nous sommes seuls dans l'univers, soit nous ne le sommes pas. Les deux hypothèses sont tout aussi effrayantes." de Arthur C.Clarke, auteur du célèbre 2001 : l'Odyssée de l’espace. Cette phrase d'ouverture a de quoi intriguer, elle annonce la couleur d'une certaine façon. Nous allons avoir peur. Enfin, en apparence, parce que le résultat n'est pas celui attendu.
Schéma intéressant que cette famille qui est comme "contaminée" par la suspicion et qui se trouve confrontée les uns après les autres à accepter la terribleeeee vérité: nous ne sommes pas seuls, ils sont là et depuis longtemps! Pertes de mémoires, bleus inexpliqués et refus de voir ce qui est sous son nez, progression horrifique qui va de paire avec la tension des protagonistes, la petite cellule familiale, va devoir (pour se sauver) se serrer les coudes! C'est une version un peu simpliste de la vie, qui si elle fonctionnait il y a quelques décennies, n'est plus suffisante de nos jours. On attend beaucoup plus d'un film de ce genre. Les choses se corsent un peu quand des soupçons de maltraitances viennent se rajouter dans leur vie mais ils sont trop rapidement passés au second plan.
Malheureusement à partir du moment où les E-T entrent en jeu la tension retombe et la fatalité gagne. On comprend dès lors qu'il ne s'agit pas de se "sauver" mais plus de retarder l'inévitable. Le film enchaine alors les propositions qui ne tiennent pas la route et ce n'est pas la fin qui suffira à me faire changer d'avis. C'est dommage les promesses ne sont pas tenues.
A voir ? Bof, pas vraiment, attendez de le voir à la télé. La bande annonce est meilleure que le film.
Distributeur :UGC Distribution Genre : Comédie Durée :1h 28min
Synopsis
Joséphine, 29 ans trois-quart, obnubilée par la taille de ses fesses,
source de tous ses problèmes, n’a toujours pas trouvé l’homme de ses
rêves
non-fumeur-bon-cuisinier-qui-aime-les-chats-et-qui-veut-plein-d’enfants.
Sa seule consolation, c’est qu’elle vit avec Brad Pitt… consolation de
courte durée puisque c’est son chat. Quand sa soeur lui annonce son
mariage, c’est la goutte d’eau qui fait déborder la tasse à café. Elle
s’invente alors une histoire d’amour avec un riche chirurgien brésilien
qui lui a demandé sa main et l’emmène vivre au bout du monde. Facile à
dire… Ce (petit) mensonge va l’entraîner dans un tourbillon d’aventures.
En un mot? prévisible
Mon avis
Pour info: "Joséphine" est un personnage de BD créé par Pénélope Bagieu.
Je suis allée voir ce film parce qu'il collait parfaitement dans mon "timing" spécial fête du cinéma, ce n'est pas une excuse mais je me suis dit que ce serait comme faire une pause dans ma journée ^^, qu'un peu d'humour me ferait du bien.
Effectivement, il remplit son contrat, mais pas beaucoup plus.
Tous les codes d'une comédie romantique sont là mais la sauce ne prend pas. Peut être parce que les ficelles sont trop grosses, qu'on a déjà vu ça 100 fois? On ne s'attache pas à l’héroïne, qui s'acharne à s'enfoncer avec le plus grand soin. Sans vous spoiler, on sait qu'elle va finir par tomber amoureuse et on sait de qui dans les 3 premières minutes du film.
Et puis il y a beaucoup de choses qui ne collent pas, comme: Joséphine qui reste dans son dupleix mais que personne n'entend ... et pourtant elle n'est pas très discrète.
Joséphine c'est notre Bridget Jones française. Mêmes potes, mêmes mensonges ... rien d'original donc. C'est une comédie "légère" sans ambition mais avec une réalisation soignée. Ça manque cruellement de charme et de rose bonbon pour que nous, les fifilles on puisse se mettre dans la peau du personnage.
Et puis j'aime beaucoup Marilou Berry mais pour le moment elle me fait trop penser à sa mère, c'est étonnant comme elle se ressemble! Ce n'est pas encore pour ce rôle qu'elle se démarquera vraiment, dommage!
A voir ? A la télé, absolument. Pas besoin de réfléchir ;)
A l'occasion de la sortie de Kick-Ass 2 le 21 août, un concours photo est organisé pour gagner les costumes officiels de Kick-Ass et Hit-Girl ainsi que des goodies du film !
Proposez votre concept de superhéros et qualifier vous pour le tirage au sort final!
Les règles sont simples :
- Suivre @UniversalFR sur Twitter afin de pouvoir être contacté en cas de gain
- Poster sa photo (ou mieux, sa vidéo !) déguisé en superhéros via instagram et/ou Twitter en mettant le hashtag #MoiSuperHeros et en mentionnant @UniversalFR
Après le massacre de ses quatre amis, Sally était parvenue à échapper à l’épouvantable famille Sawyer. Les habitants de la petite ville de Newt, au Texas, avaient décidé de faire justice eux-mêmes, brûlant la maison de cette famille maudite et tuant tous ses membres. C’est du moins ce qu’ils crurent à l’époque...
Bien des années plus tard, à des centaines de kilomètres de là, une jeune femme, Heather, apprend qu’elle vient d’hériter d’un somptueux manoir victorien, léguée par une grand-mère dont elle n’avait jamais entendu parler. Accompagnée de ses meilleurs amis, elle part découvrir la magnifique propriété isolée dont elle est désormais propriétaire.
Heather va vite comprendre que du fond des caves, l’horreur n’attend qu’une occasion pour surgir…
Pour ceux qui ne suivent pas au fond de la classeTexas Chainsaw 3D c'est la suite de "Massacre à la tronçonneuse" (ado, c'est le seul film d'horreur que je n'ai pas pu regarder autrement qu'en accéléré ^^, faudrait que je m'y remette quand même) et pour une fois clap-clap ce n'est pas un remake, ni un prequel! Enfin ne nous emballons pas, ce film là, ne vaut pas "Massacre à la tronçonneuse".
Scénario: quand au bout de 45 min, 80% des protagonistes décèdent de manière définitive (oui!), on se demande ce que nous prépare le reste du film. C'est précisément le moment où il va falloir s'accrocher. Entre retrouvailles familiales (et non je ne spoile pas ^^) et vieilles rancœurs le film s'allonge à l'infinie avec la plus longueeeeeee traque à la tronçonneuse du moment.
Acteurs: rien à en dire, au moins le scénario ne les fait pas crier pendant 90 mins ... si vous avez lu le paragraphe du dessus, vous savez pourquoi je vous dis ça.
Ambiance générale du film: pas trop mauvaise, finalement, après la confirmation que ce n'est pas le film de l'année on commence les conjectures pour savoir si on est meilleur que le scénariste du film ou si on a les mêmes idées (j'ai les mêmes idées). Le générique du début avec les images de l'ancien film, fonctionne plutôt bien et le côté old school prend doucement forme, mais il manque deux ou trois détails pour que tout fonctionne vraiment, pour que ce film devienne vraiment moyen bof limite, à votre avis? Des seins, des fesses: évidemment!!
Un jour on arrêtera de faire des films d'horreurs en montrant des
seins/des fesses dans tous les plans. Ce genre de film est daté des
années 80. Il va falloir arrêter. C'est facile comme tout, plus y a de seins ----> moins le film est bon. Théorie que je vous invite à démonter bien sûr ;)
Moins sanglant qu'un film d'horreur basique (comme je les aime), il fallait trouver une autre solution pour éviter l'hémorragie dans la salle.
La 3D: pas vu, mais à mon avis, elle est efficace. ^^
A voir ? Entre copains pour se faire une légère frayeur, absolument. Le film n'a pas franchement trop d’intérêt sinon. En plus, je vous fais du teasing nibards, alors qu'on ne les voit pas vraiment...