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mardi 22 septembre 2015
GALLERIA CONTINUA fête ses 25 ans!
samedi 24 mars 2012
[Expositions] - Helmut Newton aux Galeries nationales du Grand Palais

Ou ? : Galeries nationales du Grand Palais
3 Avenue du Général Eisenhower
75008 Paris
Ouverture tous les jours, sauf le mardi, de 10h à 22h.
- Plein tarif : 11 €
- Tarif réduit : 8 € (13-25 ans)
- Gratuité jusqu’à 13 ans
L’exposition réunit plus de deux cents images, quasi exclusivement des tirages originaux ou vintage réalisés sous le contrôle d’Helmut Newton : polaroïds, tirages de travail de divers formats, œuvres monumentales. Elle sera enrichie d’archives de presse, ainsi que d’un film réalisé par June Newton, épouse du photographe pendant soixante ans et elle-même photographe : Helmut by June.
jeudi 22 mars 2012
[Expositions] - "Ai Weiwei" au Jeu de Paume à Paris

Ou ? : Jeu de Paume à Paris
1 place de la Concorde
75008 Paris
Mardi de 11h à 21h.
Du mercredi au dimanche de 11h à 19h.
Fermeture le lundi, y compris les jours fériés.
- Entrée : 8,50 euros
- Tarif réduit : 5,50 euros


Ai Weiwei avec la rockstar Zuoxiao Zuzhou dans l'ascenseur, placé en garde à vue par la police, Sichuan, Chine, août 2009 © Ai Weiwei. et Juin 1994, 1994, © Ai Weiwei.
www.jeudepaume.org
samedi 17 mars 2012
[Expositions] - "Beauté animale" aux Galeries nationales du Grand Palais

Ou ? : Galeries nationales du Grand Palais
3 Avenue du Général Eisenhower
75008 Paris
Ouverture tous les jours, sauf le mardi, de 10h à 22h.
- Plein tarif : 11 €
- Tarif réduit : 8 € (13-25 ans)
- Gratuité jusqu’à 13 ans
Cette exposition est organisée par la Réunion des musées nationaux – Grand Palais.
Depuis la Renaissance, artistes et naturalistes n’ont cessé d’observer les animaux et de les représenter avec toute l’exactitude possible. Néanmoins, le naturalisme s’arrête là où commencent la norme et la morale : des critères éthiques et esthétiques sont mis en place, qui motivent les différences de point de vue. Ainsi, les manières de représenter une même bête varient extraordinairement. Elles traduisent notre fascination et notre curiosité pour un monde qui n’a pas fini de livrer sa diversité. A travers des œuvres majeures, l’exposition explore les rapports que les artistes, souvent les plus grands peintres et sculpteurs, entretiennent avec les animaux. Elle montre que le lien entre art et science, entre notre soif de connaissance de l’animal et notre fascination pour sa beauté, continue d’être étroit.
Peintures, dessins, sculptures, photographies, célèbres ou insolites... La manifestation réunit environ 120 chefs-d’œuvre de l’art occidental, de la Renaissance à nos jours, avec un parti pris radical et inédit : ne montrer que des œuvres où l’animal est représenté seul et pour lui-même, hors de toute présence humaine. Cette merveilleuse ménagerie, scénarisée dans un souci de clarté et d’accessibilité à tous les publics, mêlera le sauvage et le domestique, l’étrange et le familier.
I. L’attention à l’animal
Comme la beauté humaine, la beauté animale doit répondre à des critères précis, qui varient selon les époques et les milieux. C’est à la Renaissance que se produit une révolution : des artistes exceptionnels, comme Dürer, puis des pionniers de la zoologie se penchent sur les animaux et les décrivent avec minutie. C’est aussi le moment où la découverte du Nouveau Monde révèle de nouveaux animaux, comme les perroquets ou les dindons. Très vite se constituent des répertoires. Dès qu’ils peuvent observer des animaux, les peintres les consignent dans des albums. Il leur arrive de reprendre certains motifs ayant déjà inspiré d’autres œuvres. Ils ont également recours à l’étude de l’anatomie et s’efforcent de décomposer les mouvements, comme le galop du cheval. Mais l’homme ne se contente pas de représenter la beauté animale, il agit sur elle en transformant les bêtes elles-mêmes. Pour cela, il convoque tous les moyens de la science. De nouvelles races de vaches, de chiens, de chats, apparaissent dans les œuvres d’art. A l’inverse, des tableaux nous restituent des races passées de mode.
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Edgar Degas, Cheval faisant une descente de main, 1865-1881, Paris, musée d’Orsay
samedi 3 mars 2012
[Expositions] - Tim Burton à la Cinémathèque de Paris

Ou ? : La Cinémathèque française
51 rue de Bercy -75012 PARIS
- Lundi, mercredi à vendredi :12h-19h.
Week-end, jours fériés et vacances scolaires (14 au 29 avril et 4 juillet au 5 août) : 10h-20h.
- Nocturne le jeudi jusqu’à 22h.
- Fermeture le mardi et le 1er mai.
Plein tarif : 11€
Tarif réduit : 8€50
Moins de 18 ans : 5€50
Forfait expo + musée : 13€
Infos en plus
Tim Burton signera le catalogue de l’exposition et le livre The Art of Tim Burton de 14h00 à 16h30 - Accès dans l’ordre d’arrivée, sans réservation. Master Class le lundi 5 mars à 15h
Salle Henri Langlois et retransmission en salle Georges Franju. COMPLET
- Master Class retransmise en direct et en streaming, en français et en anglais, sur arte.tv/burton et sur cinematheque.fr à partir de 15h. À l’issue du direct, la master class restera disponible en différé dans les deux langues

Excentricités et rêveries visuelles
L’exposition Tim Burton montre des œuvres originales, mélanges assumés de pop, de gothique et de surréalisme - hybridation artistique revendiquée par l’artiste qui se plaît à mixer et subvertir les genres. Certaines datent de sa jeunesse et sont de pures rêveries visuelles imaginées pour des projets demeurés à l’état d’ébauche : « J’étais en train de faire un croquis, et, tout à coup, je me suis dit : peu importe que je sache dessiner ou pas, l’importantz c’est que j’aime ça. Dès lors, je me suis fichu de savoir si je pouvais reproduire ou pas une forme humaine, ou si les gens aimaient ou pas mes dessins ». D’autres au contraire sont de récents prototypes de travail, dont la valeur artistique est néanmoins incontestable. Leur agencement dans l’espace donne la sensation au visiteur de pénétrer le laboratoire de ce Dr Frankenstein moderne, créateur d’une cosmogonie où le macabre et la comédie s’allient plutôt qu’ils ne s’opposent. Et où l’intimité du cinéaste (carnets de croquis, films amateurs) s’expose à côté d’œuvres mythiques du cinéma, tels que Edward aux mains d’argent ou Sleepy Hollow, dont l’envers du décor est ici révélé pour la première fois. La suite ici