Quand ? : 7 mars au 5 août 2012
Ou ? : La Cinémathèque française
51 rue de Bercy -75012 PARIS
Horaires :
- Lundi, mercredi à vendredi :12h-19h.
Week-end, jours fériés et vacances scolaires (14 au 29 avril et 4 juillet au 5 août) : 10h-20h.
- Nocturne le jeudi jusqu’à 22h.
- Fermeture le mardi et le 1er mai.
Combien ? : - Lundi, mercredi à vendredi :12h-19h.
Week-end, jours fériés et vacances scolaires (14 au 29 avril et 4 juillet au 5 août) : 10h-20h.
- Nocturne le jeudi jusqu’à 22h.
- Fermeture le mardi et le 1er mai.
Plein tarif : 11€
Tarif réduit : 8€50
Moins de 18 ans : 5€50
Forfait expo + musée : 13€
Infos en plus
- Signature le dimanche 4 mars
Tim Burton signera le catalogue de l’exposition et le livre The Art of Tim Burton de 14h00 à 16h30 - Accès dans l’ordre d’arrivée, sans réservation. Master Class le lundi 5 mars à 15h
Salle Henri Langlois et retransmission en salle Georges Franju. COMPLET
- Master Class retransmise en direct et en streaming, en français et en anglais, sur arte.tv/burton et sur cinematheque.fr à partir de 15h. À l’issue du direct, la master class restera disponible en différé dans les deux langues
Tim Burton signera le catalogue de l’exposition et le livre The Art of Tim Burton de 14h00 à 16h30 - Accès dans l’ordre d’arrivée, sans réservation. Master Class le lundi 5 mars à 15h
Salle Henri Langlois et retransmission en salle Georges Franju. COMPLET
- Master Class retransmise en direct et en streaming, en français et en anglais, sur arte.tv/burton et sur cinematheque.fr à partir de 15h. À l’issue du direct, la master class restera disponible en différé dans les deux langues
L’événement autour de Tim Burton à La Cinémathèque française est non seulement l’occasion jubilatoire de revoir tous ses films (dont ses courts-métrages les plus confidentiels) mais aussi, grâce à l’exposition majeure conçue par le MoMA à New York en 2009 et accueillie ici ce printemps, de découvrir ses talents de dessinateur, peintre, vidéaste, photographe, inventeur de sculptures bigarrées et stupéfiantes.
Excentricités et rêveries visuelles
L’exposition Tim Burton montre des œuvres originales, mélanges assumés de pop, de gothique et de surréalisme - hybridation artistique revendiquée par l’artiste qui se plaît à mixer et subvertir les genres. Certaines datent de sa jeunesse et sont de pures rêveries visuelles imaginées pour des projets demeurés à l’état d’ébauche : « J’étais en train de faire un croquis, et, tout à coup, je me suis dit : peu importe que je sache dessiner ou pas, l’importantz c’est que j’aime ça. Dès lors, je me suis fichu de savoir si je pouvais reproduire ou pas une forme humaine, ou si les gens aimaient ou pas mes dessins ». D’autres au contraire sont de récents prototypes de travail, dont la valeur artistique est néanmoins incontestable. Leur agencement dans l’espace donne la sensation au visiteur de pénétrer le laboratoire de ce Dr Frankenstein moderne, créateur d’une cosmogonie où le macabre et la comédie s’allient plutôt qu’ils ne s’opposent. Et où l’intimité du cinéaste (carnets de croquis, films amateurs) s’expose à côté d’œuvres mythiques du cinéma, tels que Edward aux mains d’argent ou Sleepy Hollow, dont l’envers du décor est ici révélé pour la première fois. La suite ici
Excentricités et rêveries visuelles
L’exposition Tim Burton montre des œuvres originales, mélanges assumés de pop, de gothique et de surréalisme - hybridation artistique revendiquée par l’artiste qui se plaît à mixer et subvertir les genres. Certaines datent de sa jeunesse et sont de pures rêveries visuelles imaginées pour des projets demeurés à l’état d’ébauche : « J’étais en train de faire un croquis, et, tout à coup, je me suis dit : peu importe que je sache dessiner ou pas, l’importantz c’est que j’aime ça. Dès lors, je me suis fichu de savoir si je pouvais reproduire ou pas une forme humaine, ou si les gens aimaient ou pas mes dessins ». D’autres au contraire sont de récents prototypes de travail, dont la valeur artistique est néanmoins incontestable. Leur agencement dans l’espace donne la sensation au visiteur de pénétrer le laboratoire de ce Dr Frankenstein moderne, créateur d’une cosmogonie où le macabre et la comédie s’allient plutôt qu’ils ne s’opposent. Et où l’intimité du cinéaste (carnets de croquis, films amateurs) s’expose à côté d’œuvres mythiques du cinéma, tels que Edward aux mains d’argent ou Sleepy Hollow, dont l’envers du décor est ici révélé pour la première fois. La suite ici
Pffff Paris c'est nul :(
RépondreSupprimerJe sais ...
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