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lundi 30 juin 2014

[#Concours] - Gagnez le livre de Mitch Albom de votre choix

Concours terminé!
Pour tenter de remporter le livre de Mitch Albom de votre choix, il vous suffisait de répondre correctement à la question suivante :

 - Dans quelle dizaine se situe l'âge des héros masculins des romans lus par Chris (hormis ceux vivant dans une caverne ^^ ) : entre 80 et 90 ans

et voici le nom du gagnant : kifaru, nous allons prendre contact avec toi!

Merci pour toutes vos participation! Nous allons prendre des vacances, on repassera de temps en temps pendant cet été mais on se retrouve à la rentrée!! 
Bonne vacances à tous ;)

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Sur le 102 B, on aime partager les lectures qui nous ont plu à travers nos avis, mais pas seulement... C'est pourquoi aujourd'hui nous vous proposons un concours pour tenter de gagner le livre poche de votre choix écrit par l'auteur coup de cœur de Chris : Mitch Albom.


Le gagnant pourra choisir son livre parmi ceux affichés ci-dessus en format poche. Le concours est ouvert du 17.06.2014 au 30.06.2014. Bonne chance!

Indice par ici !
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Les dotations seront livrées par FedEx, UPS ou La poste, nous ne serons pas responsable des éventuelles pertes. 
- Une seule participation par foyer (même nom, même adresse ...). 
- Tout mail/formulaire incomplet ne sera pas pris en compte 
- Le concours est ouvert du 17.06.2014 au 30.06.2014.
- Le gagnant seront tirés au sort le 30.06.2014 à 21h00 et annoncés directement sur le blog. 
- Nous vous demandons votre"pseudo" ce qui permet de nous indiquer sous quel nom/forme vous voulez apparaitre sur le blog ... à défaut votre prénom et la première lettre de votre nom serons utilisé si vous êtes le gagnant. Exemple: Joan M. 
- L'identification des gagnants (non, prénom, etc.) est publié en ligne avec le résultat des concours.
- Concours ouvert pour la France uniquement. 

dimanche 29 juin 2014

[Critique film] - "Albert à l'ouest" de Seth MacFarlane

Titre original: A million ways to die in the west


Date de sortie cinéma :
Réalisé par Seth MacFarlane

Acteurs: 
Seth MacFarlane, Charlize Theron, Amanda Seyfried
...
-
Distributeur : Universal Pictures International France
Genre : comédie
Durée : 1h56 min

Synopsis
La couardise d'Albert au cours d'une fusillade donne à sa fiancée volage la bonne excuse pour le quitter et partir avec un autre. Une belle et mystérieuse inconnue arrive alors en ville et aide le pauvre Albert à enfin trouver du courage. Des sentiments s'immiscent entre ces deux nouveaux alliés, jusqu'au jour où le mari de la belle, un hors-la-loi célèbre, découvre le pot-aux-roses, et n'a plus qu'une idée en tête : se venger. Albert aura-t-il le courage nécessaire pour venir à bout du bandit ?

© - Universal Pictures International France
En un mot? gras 
Mon avis
En octobre 2012, sortait le fabuleux "Ted", quelques mois plus tard Seth MacFarlane (toujours aussi irrévérencieux) présentait les Oscars et me faisait rire : encore! J’attendais avec impatiente "Albert à l'ouest". Après quelques échos de son résultat au box office sur le continent américain (flop), je me suis préparée au pire en me disant que son humour "particulier" ne peut plaire à tous. J'avais raison et ce qui m'ennuie le plus c'est que le résultat soit si décevant.

La couardise d'Albert au cours d'une fusillade donne à sa fiancée volage la bonne excuse pour le quitter et partir avec un autre. Une belle et mystérieuse inconnue arrive alors en ville et aide le pauvre Albert à enfin trouver du courage. Des sentiments s'immiscent entre ces deux nouveaux alliés, jusqu'au jour où le mari de la belle, un hors-la-loi célèbre, découvre le pot-aux-roses, et n'a plus qu'une idée en tête : se venger. Albert aura-t-il le courage nécessaire pour venir à bout du bandit ?

Tout comme pour son premier film Seth MacFarlane a choisi une approche très classique dans la narration. Je n'ai rien contre à partir du moment où l'histoire est un brin original ... "Albert à l'ouest" n'a absolument rien d'original. Sauf peut être cette manière de filmer les acteurs en plan unique, ce qui donne l'impression qu'ils ne se donnent pas la réplique. Comme si des scènes avaient été retournées et que les acteurs n'étaient pas disponible au même moment. Déroutant.
A part ça, rien ne sort vraiment du lot, tout parait égal, sur le même plan. Le film met énormément de temps à trouver son rythme et la première heure est particulièrement longue et laborieuse. On sourit à peine. La seule inspiration de Seth MacFarlane semble s’être centré sur toutes les blagues les plus graveleuses possibles (rien ne nous est épargné).
Si dans "Ted" le public visé était clairement adulte, tant par les références que pour les blagues, il semble qu'ici ce soit l'inverse. Gags lourds, pas finauds et franchement pas subtils on est loin du foisonnement d'idées trash et "limite" de son premier film. Quasiment pas de deuxième lecture ou de sous entendu "Albert à l'ouest" c'est un pur concentré de blabla.
Mais je ne dis pas non plus que le film n'est pas drôle du tout! Entre blagues potaches, lourdes et sans inspiration se glissent quelques moments de grâce... La scène du "space cookie"qui doit durer 3 mins est fantastique. Dans la second partie se trouve quelques cameos de l'enfer (je me souviens de 3?) dont un qui peut aisément rivaliser avec la scène de Chuck Norris dans "Expendables 2".

Charlize Theron, qui joue bien et juste, son rire (dans la scène du "space cookie") semble tout ce qu'il y a de plus naturel, un vrai plaisir. Seth MacFarlane, aurait dû n'apparaître qu'en second rôle (on ne s'attache pas à lui), Amanda Seyfried montre qu'elle accepte volontiers le second degré (surtout quand elle est directement visée) les quelques blagues sur son physique "globuleux" ont suffit à me faire pouffer de rire.
Les autres sont tout aussi excellents, mais quand le scénario est faiblard ...
-
A voir ? pas forcément. Clairement pas pour les enfants, "Albert à l'ouest" se regardera plus volontiers à la télé ;) Il ne restera pas dans les mémoires. J'ai presque peur pour la suite de "Ted" maintenant.
  • Scénario: 5/10
  • Musique: 6/10
  • Acteurs: 7.5/10
  • Ambiance générale du film: 5.5/10
  • Décors/esthétique: 7/10
Ce qui donne: 6.2/10
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[Notre alternative au Mondial 2014] - Silly Symphonies - 4

Ce soir : "Une petite poule avisée" (1934). Enjoy!

mercredi 25 juin 2014

Entre mes mains le bonheur se faufile ou le choix de vivre sa vie...

Encore une fois, je tiens à remercier les éditions Michel Lafon pour avoir proposé cette lecture. Je l'ai beaucoup aimé et pour tout dire, je ne m'attendais à pas à ce que j'allais lire...

On y suit l'histoire d'Iris, une jeune femme mariée à un médecin hospitalier qui s'ennuie dans la petite vie bourgeoise qu'elle n'a pas choisi (ou plus exactement qu'elle subit...) et qui décide, après avoir découvert que ses parents l'avaient trompée, de faire une formation qui lui permettra de vivre de sa passion pour la couture.

Avant de continuer, je dois vous avouer qu'avec son titre, sa couverture et son résumé, je m'imaginais qu'il s'agissait d'un roman sur la confiance en soi et le besoin de réaliser ses rêves. Alors, confiance en soi et réalisation de ses rêves sont bien au programme, mais on est clairement dans une romance alors que je pensais lire une "tranche de vie". 

Au delà de cette "surprise", je n'ai eu aucun mal à rentrer dedans. Il faut dire que l'écriture est très dynamique et se lit très bien. Du côté de l'histoire, on est tout de suite dans le bain, alors qu'Iris apprend lors du déjeuner dominical rituel chez ses parents que ces derniers lui ont menti lorsqu'elle était plus jeune alors qu'elle attendait une réponse pour une formation de couturière, car ils considéraient que la couture n'était pas suffisamment respectable pour une jeune fille issue de sa classe sociale. Cette révélation réveillera Iris de son apathie et la décidera à s'inscrire à une formation de couturière.

Avant d'aller plus loin, il faut savoir qu'Iris est plutôt soumise dans sa vie. Les attentes de ses parents, les souhaits de Paul, son mari, et toutes les autres choses qu'elle a accepté par devoir font qu'elle doute énormément de ses capacités. Et c'est avec l'approbation de Paul, condition sine qua none, qu'elle va pouvoir monter à Paris pour suivre sa formation à l'Atelier.

Elle va y rencontrer Marthe, ancienne mannequin à la vie sociale mondaine très active, qui va la prendre sous son aile et révéler son talent pour la couture, oui, mais aussi pour le stylisme. Et progressivement, Marthe va prendre un ascendant psychologique très fort sur Iris... Sans oublier Gabriel, qui est comme un fils pour Marthe et qui s'occupe de gérer sa fortune. Un jeu de séduction se met progressivement en place, mais il ne faut pas oublier qu'Iris est mariée...

Voilà, je ne veux pas en dire trop, même si j'en ai déjà dit beaucoup, mais sachez que même s'il s'agit d'une romance, l'histoire est très bien développée et prend de l'ampleur au fil des pages, et la pauvre Iris passera par toutes sortes de sentiments, de la solitude à l'espoir, de la résignation à l'envie pour finalement essayer de devenir elle même.

samedi 21 juin 2014

[Notre alternative au Mondial 2014] - Silly Symphonies - 1

Pour ceux qui comme nous on une véritable aversion pour le foot et autres supporters beuglant/bruyant/sans gène, on vous propose une petite alternative ^^. Chaque samedi et dimanche soir (19h30 comme quand on était petit ;) ) et ce jusqu'à la fin du mondial, nous mettrons en ligne des classiques de Disney.

"Les trois petits cochons"de Walt Disney, sorti en 1933 dans la série des Silly Symphonies

et connaissiez-vous la suite? "Les trois petits loups" de 1936.
 

"Dumb and Dumber To" de Bobby Farrelly et Peter Farrelly

Titre original:  Dumb and Dumber To


Date de sortie cinéma :
Réalisé par Bobby Farrelly et Peter Farrelly



Acteurs:
Jim Carrey, Jeff Daniels

...
 
Distributeur : Metropolitan FilmExport
Genre : comédie
Durée : ?

Synopsis
Nouvelles aventures pour Lloyd Christmas et Harry Dunne.


  J'ai pouffé devant le trailer ^^

lundi 16 juin 2014

Mitch Albom ou une autre vision de la vie et de la mort...

Il y a quelques années, en attendant de prendre l'avion, je suis allée faire un tour pour trouver une lecture, et là au milieu de tous les livres, un titre a retenu mon attention : "les cinq personnes que j'ai rencontrée là haut". Après avoir lu le résumé, je me suis dit "pourquoi pas ?". Je ne m'attendais certainement pas à ce que ce livre me marque autant. C'est simple, il est devenu mon préféré et depuis toutes ces années, aucun ne l'a encore détrôné.

On y suit donc l'histoire d'Eddie, 83 ans, qui travaille dans un parc d'attractions à la maintenance des manèges quand l'un d'entre eux se détraque et fonce sur une petite fille. C'est alors qu'Eddie se jette pour sauver l'enfant et décède. Il va ainsi se retrouver dans un endroit tout blanc (le paradis ?) ne sachant que faire... il entamera alors un voyage qui lui fera rencontrer cinq personnes qui ont marqué sa vie ou dont il a marqué la vie, le tout entrecoupé de flash-back, toujours à l'un de ses anniversaires. 

Je ne veux pas en dire plus car ce serait en dire trop, mais sachez que la vie d'Eddie n'a jamais été facile, et qu'à travers sa mort et ses différentes rencontres, il obtiendra une rédemption qu'il n'attendait pas. Et aussi, que je n'ai pas pu laissé ce livre avant de l'avoir fini ! J'ai d'ailleurs ressenti un incroyable sentiment de sérénité quand je l'ai reposé... c'est tout simplement le livre le plus positif que j'ai jamais lu !!!


Après cela, j'ai gardé en tête le nom de l'auteur que je lisais pour la première fois, et j'ai souvent parlé de lui autour de moi, mais je ne me suis jamais lancée dans un autre de ses romans. Finalement, je me suis laissée tentée la dernière fois que je suis allée à la librairie... là, au milieu de rayonnages, certains romans faisaient face, et un nom m'a tout se suite sauté aux yeux : Mitch Albom... une jolie couverture et un résumé intriguant ont fini de me convaincre (oui,  bon, je n'ai pas été très difficile...)

Le roman commence avec l'histoire de Dor, qui vivait au début de l'âge des hommes, quand la notion du temps n'existait pas. Il a alors été le premier à tenter de le compter et de le maîtriser, mettant sa vie quelque peu de côté jusqu'au moment où sa femme, qu'il aimait plus que tout, tomba gravement malade et qu'il tenta d'arrêter le temps. Il fut alors condamner à être enfermé dans une caverne à entendre les souffrances qu'il avait engendrée : la plainte des gens qui manquer de temps... C'est ainsi qu'au bout de plusieurs milliers d'années, il fut libéré à la condition d'aider deux âmes : l'une mourante voulant plus de temps et l'autre vivante mais voulant précipiter sa fin...

On va donc suivre en parallèle l'histoire de Sarah, 16 ans et mal dans sa peau, et de Victor, octogénaire richissime sur le point de mourir d'un cancer, entrecoupée de celle de Dor. Le rythme du début est assez rapide, les chapitres sont très courts et un paragraphe est affecté à chacun des personnages qui se font systématiquement écho. Alors autant on rentre facilement dans l'histoire et on s'attache vite à Dor, autant ça a été plus difficile avec Sarah et Victor du fait que les passages les concernant sont assez courts. 

Heureusement, plus l'histoire avance, plus les chapitres s'agrandissent et plus je me suis attachée à chacun d'entre eux et à leur histoire. Je me demandais comment ça allait finir et, finalement, les dernières pages sont parmi les plus émouvantes que j'ai jamais lues. Il faut dire que je suis une madeleine quand je regarde un film, mais jamais encore je n'avais eu la larme à l’œil en lisant un livre. Et bien ce fut une première, non pas que l'histoire soit triste, mais plutôt parce qu'il y a une vraie justesse dans les sentiments. Et la morale de ce livre est simple : carpe diem ! Si la vie a une durée déterminée, c'est pour nous rappeler que chaque moment doit être apprécié parce qu'il est unique.


En résumé, avec ces deux livres, Mitch Albom a fait carton plein avec moi. Je pense que je lirai très probablement ses autres romans, même s'il n'y a pas de beau gosse et qu'il ne s'agit pas de romance, parce que ses histoires sont juste magnifiquement écrites.

mardi 10 juin 2014

Te désirer ou la recherche de l'adrénaline...

Avant toute chose, je tiens à remercier les éditions Michel Lafon pour cette lecture. Je dois dire que depuis 50 nuances de Grey (que j'ai lu en VO il y a bientôt 2 ans) je n'ai pas lu d'autres livres de ce genre (comment ça, quel genre ?! ne faites pas les innocentes...). Il faut dire que même si j'aime le côté "émoustillant" je crains un peu le côté cru et c'est avec une certaine curiosité que j'ai entamé cette lecture...

On y suit donc l'histoire d'Angelina, fille d'un sénateur en vue, nièce d'un grand mécène qui vient de décéder, qui se débat dans une vie qui ne lui appartient plus vraiment depuis la perte de sa sœur quand elle était adolescente. Il faut dire qu'à cette époque, elle, Lina, brûlait la vie par les deux bouts sans se soucier des conséquences jusqu'à ce que sa sœur décède et lui fasse prendre conscience que ses actes n'étaient pas si anodins. Elle décide alors d'étouffer sa vraie nature et de faire apparaître Angie, une jeune fille dont ses parents n'auraient pas à avoir honte et qui essaye constamment d'être à la hauteur de ce que sa sœur aurait été. 

Autant dire que la pression est forte, elle ne peut pas se permettre de se lâcher car si cela s'apprenait, la carrière de son père en pâtirait et surtout elle décevrait ses parents auxquels elle tient profondément. Du coup, elle recherche (discrètement) des expériences plus ou moins interdites mais surtout l'adrénaline qui lui donne l'impression d'être vivante dans cette vie apathique qu'elle s'est construite en devenant Angie.

Malgré tout, il y a une constante dans cette vie sans passion (vraiment ?) : Evan Black ! Elle brûle de désir pour lui depuis le premier jour, quand elle l'a rencontré chez son oncle l'été suivant le décès de sa sœur, sauf qu'Evan n'a jamais vu en elle autre chose qu'une petite princesse, du moins le croit-elle... 

Bon, je crois que je vais m'arrêter là afin de vous laisser un peu de surprise ;)

Pour être honnête, j'ai déjà lu des livres qui ne s'affichaient pas clairement comme des romances érotiques et dont l'histoire n'était qu'un prétexte à des scènes explicites, autant dire que ce n'est pas mon truc... 

Ici, au contraire, j'ai beaucoup apprécié l'histoire développée par l'auteure. La seule chose qui m'a gênée, c'est lorsqu'Angie nous parle normalement de sa vie, ses pensées et ses envies et que sans crier gare voilà un "ma chatte" ou "mon cul" qui surgit de nulle part. Autant lorsqu'il s'agit des scènes de sexes ou des dialogues un peu grivois avec son partenaire, je peux comprendre, mais lorsque la narration est sur le ton de la confidence anodine, je trouvais ça un peu hors contexte et franchement ça a perturbé ma lecture (j'avais un peu de mal à me remettre dedans ! si si j'vous jure !)

Bon, au final, c'était quand même une lecture agréable, et même si je ne me ruerais pas sur le prochain tome (prévu en novembre) je le lirai avec plaisir ;-)

dimanche 8 juin 2014

[Visite] - "Monumenta 2014, l'étrange cité" de Ilya et Emilia Kabakov

Adresse:
Grand Palais

3, avenue du Général Eisenhower
75008 Paris

Ouverture:
de 10h à 19h, dimanche lundi et mercredi, de 10h à 00h du jeudi au samedi. Fermeture hebdomadaire le mardi et fermeture exceptionnelle le 1er mai. 
Fermeture des caisses : 45 min avant la fermeture de l'exposition, accès jusqu'à 30 min avant la fermeture pour les personnes munies d'un billet. 
Gratuit à partir de 20h le samedi 17 mai (Nuit européenne des musées).
Dans le cadre de sa participation à la fête de la musique le 21 juin l'exposition sera fermée à 19h et rouvrira gratuitement à partir de 20h.

Tarifs:
- Tarif plein : 7 €
- Tarif réduit : 4 €
Du 10 mai au 22 juin 

Confrontation artistique sans équivalent dans le monde, Monumenta invite chaque année un artiste contemporain de renommée internationale à investir les 13 500 m2 de la Nef du Grand Palais avec une œuvre spécialement conçue pour l’occasion. En 2014, les artistes russes Ilya et Emilia Kabakov imaginent une installation spectaculaire et mystérieuse : à travers une cité utopique, ils proposent aux visiteurs, sous la verrière monumentale, un parcours initiatique et une réflexion sur la condition humaine.




© - Le102B
Déception à la hauteur de l’événement et de l'attente. Je vous rappel qu'il n'y a pas eu de Monumenta l'année dernière. Ilya et EmiliaKabakov nous présente un travail qui ressemble plus à des recherches ou des travaux d'école, qu'à un vrai travail plastique. Loin d'être intéressante cette Monumenta ne mérite pas le déplacement. Pourtant ils avaient de la matière. Leur étrange cité aurait pu ce contenter d'être ces murs blanc (plus intéressant que l'intérieur des petites maisons) très beau avec ce soleil. Elle aurait même pu n'être que cette installation (très réussit. En dessous) d'un homme sur un échafaudage tentant de joindre un ange... Mais non, ils n'ont pas fait dans la simplicité et c'est là le problème. Si on doit expliquer une œuvre, je l’estime de facto : raté.


Lorsque je me rend à un tel événement, je m'attend aussi à une qualité d’exécution parfaite. Ce n'est pas le cas! Notez "la patte de l'artiste" au niveau des petits carrés sur la gauche. On y voit carrément une ligne de crayon. Un travail d'étudiant, c'est agaçant.

[Visite] - "Dôme des Invalides, tombeau de Napoléon Ier" au Musée de l'Armée, Invalides

Adresse:
Musée de l’Armée
Hôtel national des Invalides
129, rue de Grenelle 75700 Paris
Ouverture:

Le musée de l'Armée vous accueille tous les jours.
- Du 1er avril au 31 octobre : de 10h à 18h
- Du 1er novembre au 31 mars : de 10h à 17h
Clôture des caisses 30 mn avant la fermeture du musée.

Tarifs:
- Tarif plein : 9,5 €
- Tarif réduit : 7,5 €

Un billet Musée vous donne accès :
aux collections permanentes du musée de l'Armée, à l'Eglise du Dôme, tombeau de Napoléon Ier, à l'Historial Charles de Gaulle, au musée des Plans-Reliefs, au musée de l'Ordre de la Libération (fermé pour travaux jusqu'en juin 2015).

Le Dôme des Invalides, qui abrite le tombeau de Napoléon Ier est l'emblème de l'hôtel national des Invalides et un monument incontournable dans l'espace parisien. Retrouvez son histoire et son rôle au travers des siècles depuis sa création à nos jours.

© - Le102B
Plus d'info sur le site : http://www.musee-armee.fr/accueil.html

En un mot? Étonnant

Mon avis

Hier, après les 60°C (ou pas loin ...) à l'intérieur de la "Monumenta 2014", errant dans les rues de Paris je suis tombée sur les Invalides. Ne sachant pas trop à quoi m'attendre je suis entrée dans les lieux, l'oeil vif (ouais j'en ai un :) ) et les sens en éveils ^^. Si je ne voulais pas spécialement voir les armures et autres cartes en reliefs dont regorge le musée, je me suis rendue compte que les lieux abritaient surtout : le tombeau de Napoléon Ier.

Et là, je suis tombée sur les fesses. Le lieux est un des plus monumentales, grandiose et imposant que j'ai pu voir dans la capitale (après les catacombes par exemple). La coupole est magnifique, les vitres des fenêtres donnant une ambiance orangée mettant en valeur les dorures de l'autel sans parlé de derrière... Très très impressionnant. Deux imposants statues en marbres noires qui encadre l'escalier pour mener au tombeau de Napoléon. Tombeau assez moche, mais très impressionnant par sa taille ...

Pour finir, le personnel est particulièrement gentil et souriant.
En bref, je vous conseil fortement d'y faire un tour. La visite du tombeau est assez courte (entre 20 et 45 mins selon votre vitesse de croisière) mais elle vaut largement le coup d’œil!

mercredi 4 juin 2014

[Autour du film] - "Godzilla" de Gareth Edwards II

Titre original: Godzilla


 
Date de sortie cinéma :
Réalisé par Gareth Edwards II
-
Acteurs:
- Aaron Taylor-Johnson est Ford
- Elizabeth Olsen est Elle Brody
- Bryan Cranston est Joe Brody
...
Distributeur : Warner Bros. France
Genre : Science fiction
Durée : 2h3min

 Synopsis
Le monstre le plus célèbre au monde devra affronter des créatures malveillantes nées de l’arrogance scientifique des humains et qui menacent notre existence.
Remake de Godzilla

© - Warner Bros. France

En un mot? déception

Mon avis
La nature aura toujours le dessus sur nous, elle saura d'elle même créer la balance pour que les forces soient équilibrées. Jamais nous ne parviendrons à la maîtriser, c'est parti de ce postulat que Gareth Edwards signe le dernier de la bande (une trentaine de films depuis 1954) et réalise le premier d'une tétralogie (on vient de l'apprendre) sur le plus grand et et le plus connu des monstres japonais : Godzilla. Rappelons que le monstre a été créé à l'origine pour dénoncer les essais nucléaires américains, les Japonais ne pouvant pas ouvertement les critiquer.

Après une rapide mise en bouche qu'est la scène d'introduction et qui augurait le meilleur. Le réalisateur s'attarde un peu trop longuement sur la relation père-fils difficile de notre héros et de sa famille en générale. Entre théorie et flash-back, le film semble se nourrir de nombreuses références et c'est très agréable. L'histoire se pose sans précipitation mais avec ambition.
Si la première partie est relativement bien construite et souvent bien amenée, la seconde partie elle en revanche, a l'air de se reposer sur ses acquis de blockbuster.
Le film ne véhicule aucun message particulier à part nous expliquer ce que mon arrière grand-mère me disait si judicieusement : "T'façon que tu peux faire? Tu peux rien faire!". 
Les hommes sont impuissants fasce à ce qu'ils voient, se pose en spectateur, de toute façon quand ils font quelque chose c'est idiot. La destruction de la ville bat son plein et quelqu'un a la gentille idée de dire "venez on va dans le métro, on sera à l’abri", personne ne pense à évacuer la ville de ses habitants, etc.
Et puis il y a la classique incompétence manifeste de l'armée avec le fameux: 
- Chef on fait tout péter avec une bombe nucléaire? 
- Ouais 
- Mais c'est comme ça qu'il est né ...
- On s'en fiche, vazy j'ai dit!
Le peu d'investissement pour les personnages (même secondaire) rend le film particulièrement plat. C'est un film de gros monstres sans recherche et sans intérêt. Aaron Taylor-Johnson, n'est là que parce qu'il fallait un quota belle gueule pour la touche glamour, vers la fin j'en avais marre de le voir, la moitié du film est sur sa trogne. Bryan Cranston, est bon, mais comme il touche à l'hystérie par moment je le revoyais à la grande époque de Malcom ... Ken Watanab, passe tout le film la bouche ouverte avec une tête d'ahurie et Elisabeth Olsen est là pour faire potiche (sérieusement qui se sépare de ses enfants alors que l'apocalypse règne?!).

Pour finir, le nouveau Godzilla a beaucoup changé si on le compare à ses débuts. Oui, à l'époque les budgets n'étaient pas les mêmes et oui le monstre n'était pas si grand (et autres critiques)... Mais on évolue avec son temps et on évite de passer pour des vieux cons réac'. C'est comme ça et pas autrement, autant s'y faire. Personnellement je n'ai rien contre celui là. Je le trouve plutôt réussit et impressionnant à part quelque soucis esthétique il me convient. Je ne le trouve pas assez musclé mais plutôt gras, il fait sans aucun doute une phlébite et avec ses petites pa-pattes de vélociraptor il a pas l'air bien à l'aise dans son corps. On peut le voir dans les scènes de combat ... 
Au delà de ces quelques désagréments son cri est parfait, il inspire le respect immédiatement, j'en ai eu des frissons au début du film, tout comme la scène avec les parachutistes et cette fumée rouge, simplement magnifique.

Le moins : Ce n'est pas du monstre dont il faut avoir peur mais du taux de destruction d'immeuble dont il est capable ... 
Le plus : rien ne s'oppose à ce que les deux prochains films, soit meilleurs et surtout qu'ils aient un minimum de scénario, si c'est pas de la positive attitude ça!

A voir ? Moui, si le peu de scénario présent ne vous fait pas peur. Au moins, dans Pacific Rim c'était assumé. Ce Godzilla est une coquille vide.
  • Scénario: 5/10
  • Musique: 6.5/10
  • Acteurs: 6.5/10
  • Ambiance générale du film: 6.5/10
  • Décors/esthétique: 8/10
Ce qui donne: 6.5/10
 
GODZILLA 2014 - Bande Annonce VF par Spi0n
Nouvelle bande annonce qui envoie franchement du paté!

lundi 2 juin 2014

[Autour du livre] Sorties du mois de mai / juin 2014

Le mois de mai est terminé mais il n'est pas trop tard pour vous faire part des sorties qui retenues mon attention, alors autant les rajouter à celles de juin ^^

Northanger Abbey
Je suis toujours aussi fan de Jane Austen (et oui, y'a des choses qui ne changent pas...) alors quand l'un de ses romans est revisité (et non édités chez Milady...) je suis forcément intéressée !

Ta vie est belle
Et un petit roman, un !

Petits mystères & grand amour
Il suffit d'une petite ligne pour me donner envie de le lire : "Depuis que je suis arrivée à Greenchester, ma vie ressemble à un Agatha Christie à la sauce Jane Austen" oui, je sais, je suis incorrigible ^^

La Confrérie de la Dague Noire - tome 11
Si vous voulez une bonne raison de lire cette saga, c'est par ici !

Alsorvampred
J'en avais déjà parlé dans les sorties livres d'avril, voici donc la seconde édition du premier roman de ma cop's Chloé !

Psi-Changeling - tome 9
Bon, je commence à accumuler du retard dans cette série, va falloir que je remédie à ça... et si vous vous demandez pourquoi, regarder par ici !

Le Trône de Fer - tome 5
Je suis fan de la série, les 3 premières intégrales m'attendent sagement alors que la cinquième sort en ce mois de juin...

Pour un an avec toi
Gayle Forman est l'auteure de l'excellent Si Je Reste qui sera bientôt adapté au cinéma... autant dire que je me laisserai bien tenter par la lecture d'un autre de ses romans ;)








Et retrouvez l'intégralité des sorties de mai ici ! et de juin ici !

dimanche 1 juin 2014

[Critique film] - "Edge of Tomorrow" de Doug Liman

Titre original:  Edge of Tomorrow


Date de sortie cinéma :
Réalisé par Doug Liman


Acteurs:
Tom Cruise, Emily Blunt, Lara Pulver

...
 
Distributeur : Action
Genre : horreur
Durée : 1h53 min

Synopsis
Dans un futur proche, des hordes d'extraterrestres extrêmement organisés, appelés les Mimics, ont livré une bataille acharnée contre la Terre, réduisant les grandes villes en cendres et causant la mort de millions d'êtres humains. Aucune armée au monde n'est à même de rivaliser avec la rapidité, la violence et les capacités cognitives exceptionnelles des combattants Mimics, très bien armés, ou de leurs chefs dotés de pouvoirs télépathiques. Mais à présent, les armées du monde ont réuni leurs forces pour une ultime offensive à quitte ou double contre les extraterrestres…

© - Warner Bros
En un mot? ébouriffant 

Mon avis
Le dernier Tom Cruise, est ce qu'il vaut vraiment le coup? Oui.
Inspiré de "All you need is kill" d’Hiroshi Sakurazaka, "Edge of tomorrow" est un savant mélange entre : "Un jour sans fin" (pas besoin de vous expliquer hein ^^), "Starship Troopers" (pareil) et "Il faut sauver le soldat Ryan" (easy quand même). Pour ne citer que ceux-là, par ce que vous vous doutez bien que ce genre de film regorge de mille et une influences ...
Soyons claire, ce n'est certainement pas pour voir un scénario hautement philosophique que vous irez voir ce film (par ce que vous irez, je n'en doute pas ^^), mais plus pour assister à de la castagne/destruction/bagarre de monstres contre des humains et j'en passe. L'une des premières scènes dans l'avion est particulièrement saisissante! Sur ce point, vous ne serrez pas déçus. Entre le sable, les bombes et autres explosions, les 3/4 du film sont spécialement faits pour vous en mettre plein les mirettes. Et quand je dis ça, je ne pèse pas mes mots. Les yeux sont particulièrement sollicités (La 3D + beaucoup de mouvements caméra/acteurs). 
Entre les scènes d'actions particulièrement efficaces, se glisse quelques passages plus calme (pour nous reposer les yeux) où notre héros se démène d'abord pour comprendre ce qui lui arrive puis pour sauver le monde (bah ouais). En effet comme vous pouvez le voir dans la bande annonce le Major Bill Cage a un sacré avantage, lorsqu'il meurt il retourne précisément au premier jour de son incorporation. De quoi apprendre de ses erreurs et surtout de quoi prendre confiance. Parce que le major est lâche, il est gradé dans l'armée mais ne veut absolument pas prendre part à la guerre, il doit combattre sa peur et trouver des solutions à sa nouvelle situation. Cette lâcheté est d'ailleurs ce qui rend le début du film intéressant et drôle (en plus de ses rencontres avec "Full Metal Bitch" alias Rita Vrataski incarnée par Emily Blunt). Non seulement c'est un film d'action mais en plus le réalisateur l'a parsemé le film de touche d'humour. L’entrainement du Major en est un bon exemple! 

Et "Vivre (combattre), mourir, recommencer" ça ne vous rappelle rien? Moi, je me souviens d'heures perdues à faire exactement la même chose mais devant ma télé avec ma console. C'est bien simple, pendant 1h50 vous avez l'impression de regarder un pote jouer à un jeux d'action "Vivre (combattre), mourir, recommencer" etc. D'ailleurs pour ceux qui seraient un peu rebutés par la répétition des scènes, ne vous inquiétez pas, le réalisateur à fait ça intelligemment et avec humour ;)
Tom Cruise semble s'être amusé à jouer un lâche, c'est agréable de le voir faire autre chose que le mec qui n'a peur de rien et Emily Blun est la plus badass d'entre toutes les badass des filles qui bottent le cul à des monstres avec une pal d’hélicoptère. Je ne la voyais pas dans ce registre, comme quoi!

Mais comme tout gros film il a aussi des défauts. Scénario boiteux par moment (tout le monde à un hélicoptère dans son jardin, normal), idylle un peu bancale, caméra parkinsonienne, décors à la limite du "mais-t'as-fait-nawak-mec!-les bus-à Paris-sont-pas-blanc"... On le sait, ce genre de film, n'est pas parfait mais il a le mérite de vous faire passer un bon moment. Et puis si vous êtes attentifs, vous verrez que notre "président" fait une apparition (la salle à bien rigolé de ça). 
Halalala, quand les américains idéalisent la France ....

Et pour finir, On ne remerciera jamais assez Hans Zimmer d'avoir inventé le buzzer ( ça, bonus avec Poutine qui danse (cette phrase hors contexte ... ^^) ) pour Inception, parce qu'il s'est reproduit un peu partout (le bruit, pas Hans Zimmer) , comme quoi quand on voit un truc sympa autant le copier et pas trop ce prendre la tête.

A voir ? OUI! Foncez! Même si je suis sortie du cinéma avec un mal de tête pas piqué des hannetons, mais avec une furieuse envie de le revoir. Allez comprendre, je dois être maso.
  • Scénario: 7.5/10
  • Musique: 7.5/10
  • Acteurs: 7.5/10
  • Ambiance générale du film: 8.5/10
  • Décors/esthétique: 9/10
Ce qui donne: 8/10

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